Deleplanque et Saaten-Union dévoilent l’organisation de leur réseau commun
Les dirigeants de Deleplanque et Saaten-Union ont précisé lors d’une conférence de presse, le 12 octobre à Maisons-Laffitte, les articulations de leur nouveau réseau commun. Sous l’entité juridique Deleplanque, il regroupe 32 personnes.
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Les semenciers Deleplanque et Saaten-Union avaient annoncé lors du regroupement de leur activité marketing et commerciale le 9 septembre dernier, qu’ils préciseraient son organisation à la mi-octobre. Voilà qui est chose faite. C’est Éric Verjux, PDG de Deleplanque, qui assure la présidence du réseau commun Deleplanque Saaten-Union, Maxime Bouton prend en charge la direction des activités betteraves et fertilisants, et Rémi Lefebvre, directeur de Saaten-Union France, celle des activités grandes cultures.
6 chefs de marché, 3 experts filières et 3 équipes terrain
Maxime Bouton prend en charge la direction des activités betteraves et fertilisants, au côté de Rémi Lefebvre, à la tête des activités grandes cultures.
Le réseau, composé de 32 personnes, s’appuie sur une équipe marketing et communication de trois personnes et six chefs de marché : Maxime Bouton lui-même, pour les betteraves sucrières, Jérôme Delalieu, pour les céréales lignées, Sébastien Cateau, pour les céréales hybrides, Sophie Fallières, pour les plantes multiservices, Paule Artero, pour les nouvelles espèces, et Francis Garnier, pour les fertilisants.
« L’équipe comprend également trois experts filières, Paul Edeline en betteraves, Annabelle Bizet en céréales, et Charles Maudens en filières industrie, ainsi qu’un service agronomique de cinq ingénieurs », détaille Rémi Lefebvre. En ce qui concerne l’activité commerciale à proprement parler, le réseau repose sur trois équipes terrain, une en betteraves de trois personnes, une en fertilisants en cours de constitution, et une en grandes cultures de six commerciaux.
Objectif, le top 5 dans chaque espèce
Fort d’un chiffre d’affaires de 30 à 35 M€, le nouveau réseau se veut une structure de commercialisation multi-espèces prête à répondre à tous les défis des agriculteurs pour les années à venir.
« Nous sommes numéro trois sur le marché français en betteraves sucrières, avec une part de marché de 7 à 8 %, et numéro quatre en blé, avec 14 % de part de marché et, surtout, détenteur de la première variété cultivée en France, Chevignon, précise Éric Verjux. Nous sommes aussi leader en seigle, en avoine de printemps et, depuis le rachat de Van Waveren en décembre 2020, numéro 1 des pois de conserve. Notre ambition est de gagner 10 % sur l’ensemble des marchés, et de figurer dans le top 5 des semenciers pour chacune des espèces où nous sommes présents. »
Rappelons que les activités recherche et production de semences des deux entreprises ne sont pas concernées par ce rapprochement.
Blandine CailliezPour accéder à l'ensembles nos offres :